Campagne autour de Dijon et dans la vallée de la Vingeanne. Sauf mention contraire explicite, les photos publiées sur ce blog sont sous licence Creative Commons BY NC ND.
Compagnons blancs
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Une plante typique des bords de routes et de chemins qui fleuri dès la fin du printemps et pendant une bonne partie de l'été.
Pour Henriette, c'est aussi des silènes. Je trouve que tu as bien su rendre leur blancheur, ce n'est pas facile de photographier des fleurs blanches, je suis souvent déçue. Il faut probablement faire un réglage pour les sous-exposer ?
Ici, l'astuce à consisté à les prendre en contre-jour. Le fond étant lumineux, ça réduit le contraste avec le sujet. Ensuite, j'ai légèrement retravaillé le contraste (Tons clairs/Tons foncés sous Photoshop Element) pour justement rendre les pétales un peu plus foncés et révéler leurs nervures.
Oui, il faut souvent sous-exposer et en post-traitement, au besoin, atténuer le contraste. C'est particulièrement délicat quand la fleur est directement éclairée par le soleil.
Nous sommes au cœur du printemps. La nature exulte. Dans les villages, les arbres fleuris rivalisent de beauté et de simplicité. Regardez cette maison extraordinaire. La couleur du lilas fait écho à celle de la glycine, tandis qu'à l'extérieur, contre le muret et son petit banc de pierre, les troches de chélidoine et leur petites fleurs jaunes apportent une touche sauvage. J'ai souvent vu des photos de pays lointains, mais rarement quelque chose d'aussi harmonieux que cet équilibre respectueux entre la nature, les plantes sauvages, et les constructions et activités humaines. Il faut entretenir les villages, mais résister à la tentation de faire quelque chose de trop propre et sans âme. Laissez une petite part de désordre, de nature, dans votre cour et dans votre jardin.
Le mot fruit est à prendre ici au sens botanique et non au sens domestique. Le fruit du muguet est toxique, comme le reste de la plante. Mais ces petites boules orange sont de vrais joyaux qu'on ne voit qu'au cœur de la forêt, là où les promeneurs n'ont pas razzié toutes les fleurs quelques mois auparavant. ---
De loin, je l'avais pris pour un pommier sauvage. Mais en y regardant de plus près, ses fruits sont constitués d'une enveloppe granuleuse qui ressemble à une bogue de noix, tant par la forme que par l'odeur. Mais elle ne s'ouvre pas. Je n'ai pas eu la présence d'esprit de prendre un de ces fruits pour le décortiquer et regarder la forme des graines à l'intérieur.
Ce blanc a l'ai r d'une pureté impressionnante!
RépondreSupprimerIl y a une sorte de "voile" du au contre-jour et à la lumière rasante du soir.
SupprimerJE pensais qu'on appelait ça des silènes.
RépondreSupprimerCompagnons blancs , c'est plus joli.
Oui, ce sont des silènes alba, c'est aussi un joli nom :-).
SupprimerPour Henriette, c'est aussi des silènes.
RépondreSupprimerJe trouve que tu as bien su rendre leur blancheur, ce n'est pas facile de photographier des fleurs blanches, je suis souvent déçue. Il faut probablement faire un réglage pour les sous-exposer ?
Ici, l'astuce à consisté à les prendre en contre-jour. Le fond étant lumineux, ça réduit le contraste avec le sujet. Ensuite, j'ai légèrement retravaillé le contraste (Tons clairs/Tons foncés sous Photoshop Element) pour justement rendre les pétales un peu plus foncés et révéler leurs nervures.
SupprimerComme ils sont beaux ces compagnons. J'ai de mon côté, toujours beaucoup de difficultés à photographier les blancs.
RépondreSupprimerOui, il faut souvent sous-exposer et en post-traitement, au besoin, atténuer le contraste. C'est particulièrement délicat quand la fleur est directement éclairée par le soleil.
SupprimerMoi qui pensais être seule à aimer ces fleurs...
RépondreSupprimerSuperbe rendu !