Ruralité

Fort La Latte est situé entre Saint Cast et Cap Fréhel. Je disposais de seulement trente minutes pour le visiter car je devais revenir au cap Fréhel, à 1h15 de marche, pour prendre le dernier bus. Un château fort avec vue sur la mer... Une fenêtre du donjon. Remarquez la petite ouverture en forme de gourde. A quoi pouvait-elle servir ? J'aime les vitraux très sobres qui ornent cette fenêtre. L'ossature du dôme en pierre qui surmonte le donjon. De l'autre coté de Saint Cast, les ruines du château du Guildo surplombent la baie de l'Arguenon. Une partie du site est inaccessible aux visiteurs et semble faire l'objet de fouilles archéologiques. Vue sur un petit port d'échouage à travers un trou dans une tour en ruine. Rendez-vous mercredi pour la suite de la série de photographies de Bretagne.

En cette période de rentrée, lorsque je reviens de mes vacances sur la côte d'émeraude, le blog passe en mode Bretagne. Cette vue a été prise entre Cap Fréhel et Fort la Latte, qui apparait à gauche, à l'extrémité de la pointe du même nom. Et celle-ci, prise d'un peu plus loin, laisse une part plus importante à lande couverte de bruyère en fleurs. Dans la direction opposée, on aperçoit les installations du Cap Fréhel. Quand à cette photo, elle a dû être prise des millions de fois car ce sapin est le seul arbre situé sur le parcours à cette hauteur. Mais tant pis, je n'ai pas pu résister. Le chemin est littéralement stérilisé par les impacts des pas des centaines de touristes qui passent ici chaque jour. Pas question de s'égailler dans la nature. La fréquentation du site oblige à canaliser les promeneurs. Une vue plongeante vers la mer aux couleurs changeantes. Ces trois pêcheurs sont partis du même endroit que moi, à savoir ...

La girole fait partie des champignons qui peuvent fructifier à différentes périodes de l'année, entre mai et octobre, en fonction des conditions météorologiques. Il n'y en a pas eu au printemps, faute de pluie, mais les voici qui arrivent.

J'ai rassemblé dans ce billet plusieurs photographies ayant en commun la couleur bleue.

Quelques photos réalisées lors d'une promenade vespérale il y a quelques jours. Souvent, la lumière est belle quand il s'arrête de pleuvoir.

Les pluies fréquentes cet été ont favorisé la floraison de nombreuses plantes sauvages dont ce petit œillet qui parsème la garrigue dijonnaise. Une touche de douceur au milieux des chardons. Les fleurs sont souvent isolées, perdues dans la verdure. Comme le laisse deviner ce plan plus éloigné.

Une plante à fleurs vertes rencontrée il y a quelques jours en pleine forêt. Je n'ai pas réussi à l’identifier. Celle-ci, par contre, est plus courante en bordure des chemins forestiers. C'est une variété de campanule. Avec en arrière plan, fondu dans le bokeh, quelques fleurs jaunes de séneçon. Une autre vue plus sobre, pour ceux qui préfèrent.

J'ai planté des groseilliers en bordure du petit terrain sur lequel se trouve ma maison. Entre juin et août, j'en mange chaque jour quelques grappes. Les voisins en consomment aussi lorsqu'ils passent devant chez moi, et puis les merles prélèvent leur part. Il y en a pour tout le monde. Mais bien sûr, pour réaliser ces photos j'ai transporté un rameau et ses fruits jusque dans ma salle de séjour, qui fait occasionnellement office de studio :-).

J'ai créé une page facebook dédiée à mon activité photographique. Elle n'est pas destinée à remplacer mon blog, mais à le promouvoir. Si vous avez un compte facebook, vous pouvez marquer votre intérêt pour les photos que je publie et les faire découvrir à vos amis de la façon suivante : En étant connecté à votre compte facebook, cliquez sur ce lien , cliquez sur le bouton "J'aime", à coté du titre de la page, sur lequel une main avec un pouce relevé est représenté, si vous pensez que certains de vos amis peuvent être intéressés, vous pouvez les inviter à découvrir cette page grâce au petit gadget situé dans le premier cadre en haut et à gauche de la page.

Ces baies toxiques sont les fruits de l' arum que je vous ai montré au mois de mai dernier. Elles sont aussi spectaculaires que les fleurs qui les produisent. Ces baies sont parfois appelée "raisin de serpent". Certainement pour effrayer les enfants et éviter qu'ils aient la très mauvaise idées d'en manger. Mais si la nature a donné à ces baies une couleur aussi vive, alors on peut imaginer que c'est pour permettre à un animal de les repérer et de les consommer, favorisant ainsi la dispersion des graines. Quel peut être cet animal ? J'imagine mal un serpent végétarien adepte des sous-bois. Si vous avez des informations, je suis intéressé. Les champignons font aussi leur apparition. Je ne connais pas le nom de celui-ci.