Ruralité

Je suis retourné photographier les glycines à Attricourt et à Saint-Seine sur Vingeanne. Elle résistent tant bien que mal aux intempéries.

Après la pluie, lorsque le ciel se dégage, il règne une ambiance particulière qui invite à savourer la lumière, les couleurs, avant la prochaine averse...

Je suis retourné voir les orchis qui sont en fleurs à une minute de marche de ma maison, histoire de photographier une petite touche de mauve dans le vert ambiant. En arrière plan d'une des photos, les taches bleues sont produites, je crois, par une variété de bugle qu'il faudra que je photographie un de ces prochains jours. N'oubliez pas de cliquer que une des photos pour une visualisation plus confortable.

Ce sont les deux couleurs dominantes dans la nature actuellement.

Il y a beaucoup d'herbes et peu de fleurs actuellement au bord des routes. Si la couleur verte est reposante et déstressante, alors c'est le moment ou jamais d'aller vous promener par les chemins et routes forestières... Avec un bon imperméable.

Je vous avais déjà parlé de mon intérêt pour les technologies anciennes et rudimentaires de réception des ondes radiophoniques. Voici une nouvelle réalisation. Ce récepteur est basé sur un principe découvert au début du siècle dernier, bien que les lampes utilisées datent des années 1950. Tous les composants proviennent d'un kit que j'ai commandé en Angleterre. J'ai remplacé la platine imprimée par un câblage à l'ancienne réalisé dans une cave à cigares chinée en brocante et sur laquelle j'ai fixé une plaque en bakélite. Je reçois très bien plusieurs stations de radio en grandes ondes, notamment RTL, Europe 1 et France Inter. Vue d'ensemble du récepteur avec ses trois boutons de réglage et ses borniers plaqués Or dégottés dans un magasin audiophile. Gros plan sur les éléments principaux : les lampes, le condensateur variable et les bobinages d'accord et de réaction. Le câblage et les piles d'alimentation. Le récepteur relié à un amplifi

Vous avez certainement reconnu cette fleur de salsifis sauvage presque engloutie dans les hautes herbes. En arrière plan, une allée de marronniers plus que séculaires. Sur la deuxième photo, on perçoit le mouvement des feuilles agitée par le vent qui souffle presque en permanence.

Cette association de couleurs et de contrastes a attiré mon attention alors que je circulais en voiture près du village de Messigny et Vantoux. Ce sont des scènes de saison. La végétation est en bonne santé et le vert domine.

J'aime bien les fleurs aux couleurs acidulées de cette variété de marronniers.

Cette variété fleuri bien plus tard que sa cousine printanière, la Véronique de Perse.

Par association d'idées, je publie aujourd'hui des photos de cette plante qui était la préférée de ma mère. Pourquoi par association d'idées ? Parce que le billet d'hier m'a fait penser à mon père qui s'appelait Robert :-).

Ce petit géranium des pierres et des murailles est très répandu dans ma région. Ces photos ont été prises au bord d'une route qui traverse un petit bois et débouche un champ de colza en fleurs.

Il y en a beaucoup près de chez moi qui sont fleuris actuellement. N'hésitez pas à cliquer sur une photo pour une visualisation optimale.

Le trèfle commence à fleurir dans les hautes herbes des prés. Le foin sera bientôt bon à récolter, sauf que pour faucher les prés, il faut trois jours consécutifs sans pluie et parfois les paysans doivent attendre une telle "fenêtre météo" pendant plusieurs semaines...

Pour faire suite au billet d'hier, voici des photos de glycines prises dans ce petit village de Haute Saône.

Certaines années, le lilas et la glycine fleurissent en même temps et ces années là, je ne manque jamais de me rendre à Attricourt, en Haute Saône, où il y a une maison qui est d'une beauté à couper le souffle. Et il faut imaginer l'odeur merveilleuse lorsque vous traversez à vélo ce village où presque chaque maison possède un lilas ou une glycine. C'est le printemps à Attricourt et dans beaucoup d'autres villages de France. Prenez le temps de flâner dans les rues, ne ratez pas cette occasion de vous ressourcer et de profiter du calme et de la quiétude de la campagne.

Je suis allé quelques jours à Bonneville, en Haute Savoie. Merci au passage à Henriette et Daniel pour leur accueil. Le temps ne s'est pas prêté aux expéditions en montagne, excepté pendant la journée de Samedi où nous avons gravi le Môle. Le brouillard intermittent créait une ambiance particulière et m'a évité d'avoir le vertige lorsque nous sommes arrivé sur le sommet :-). Il y avait des jonquilles, quelques crocus et soldanelles, mais les photos que j'ai prises se sont avérées décevantes. Ce n'est que partie remise. Corinne, Henriette, Ray et Nathalie sur le sommet du Môle, dans le brouillard. Le "petit Môle" vue depuis le chemin qui conduit au sommet du Môle, lors d'une des rares éclaircies. Gars Rouge, le chien d'Henriette et Daniel. Bonneville (ou quelque part à coté) vue depuis le versant sud du Môle. La cueillette des jonquilles.

Le sentier qui part à quelques pas de ma maison et court vers la combe voisine est luxuriant de verdure à cette époque de l'année.

Pour faire suite aux photos d'hier, voici d'autres paysages de champs de colza avec un ciel menaçant. Des scènes typiques du mois de mai en Côte d'Or.