Un arbre étrange
De loin, je l'avais pris pour un pommier sauvage. Mais en y regardant de plus près, ses fruits sont constitués d'une enveloppe granuleuse qui ressemble à une bogue de noix, tant par la forme que par l'odeur. Mais elle ne s'ouvre pas. Je n'ai pas eu la présence d'esprit de prendre un de ces fruits pour le décortiquer et regarder la forme des graines à l'intérieur.
Wouahou !!! Comme quoi les paysages de plaine peuvent être beaux !
RépondreSupprimerEn cette période, la plaine change très vite...
SupprimerOn dirait un paysage de feu sur les deux dernières.
RépondreSupprimerBelle mise en valeur du travail des céréaliers.
Le paysage est profondément marqué par l'homme. Ici se joue la survie d'une humanité dont la population en croissance permanente laisse de moins en moins de place au milieu naturel, prise dans un piège très bien expliqué par le livre que je suis en train de lire, et dont je parlerai sur ce blog.
SupprimerVous avez réussi à saisir la lumière, le mouvement, la récolte, la chaleur, la beauté du ciel,
RépondreSupprimerla poésie de ces scènes de campagne : c'est magnifique !!!
Merci pour ces compliments :-).
SupprimerLa première et l'avant-dernière avec ses couleurs du soir seront mes préférées.
RépondreSupprimerLes nuages de poussière derrière les moissonneuses sont très photogéniques :-).
SupprimerAprès les magnifiques nuages, pour la dernière il y a concurrence entre le ciel et la terre :
RépondreSupprimerligne de fumée de poussières sur la terre et lignes de nuages au ciel mais avec peut être quelques fumées d'avions
Il y a bien des trace d'avion, mais surtout il y avait un gros soleil aveuglant que j'ai fait disparaitre avec Photoshop...
SupprimerSuperbes photos ! Depuis quelques mois, je prends moins de temps pour aller sur internet, mais je ne me lasse jamais de vos photos ! j'adore particulièrement cette série.
RépondreSupprimerMerci. Je ne rate jamais non plus un épisode de vos aventures :-). Les blogs de français vivant sur d'autres continents sont toujours très intéressants pour moi, car même si je lis l'anglais, je n'en saisi pas toutes les subtilités.
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