Campagne autour de Dijon et dans la vallée de la Vingeanne. Sauf mention contraire explicite, les photos publiées sur ce blog sont sous licence Creative Commons BY NC ND.
Cheval
Obtenir le lien
Facebook
Twitter
Pinterest
E-mail
Autres applications
Un fier étalon dans un pré dont la surface utile diminue au fur et à mesure de la montée des eaux. Heureusement, il y a du foin pour tenir le coup en attendant la décrue.
Ça me fait toujours quelque chose de savoir que certains animaux vivent dehors par des froids polaires, je sais qu'ils s'adaptent et mette leur pelure d'hiver, mais quand même.
De loin, je l'avais pris pour un pommier sauvage. Mais en y regardant de plus près, ses fruits sont constitués d'une enveloppe granuleuse qui ressemble à une bogue de noix, tant par la forme que par l'odeur. Mais elle ne s'ouvre pas. Je n'ai pas eu la présence d'esprit de prendre un de ces fruits pour le décortiquer et regarder la forme des graines à l'intérieur.
Nous sommes au cœur du printemps. La nature exulte. Dans les villages, les arbres fleuris rivalisent de beauté et de simplicité. Regardez cette maison extraordinaire. La couleur du lilas fait écho à celle de la glycine, tandis qu'à l'extérieur, contre le muret et son petit banc de pierre, les troches de chélidoine et leur petites fleurs jaunes apportent une touche sauvage. J'ai souvent vu des photos de pays lointains, mais rarement quelque chose d'aussi harmonieux que cet équilibre respectueux entre la nature, les plantes sauvages, et les constructions et activités humaines. Il faut entretenir les villages, mais résister à la tentation de faire quelque chose de trop propre et sans âme. Laissez une petite part de désordre, de nature, dans votre cour et dans votre jardin.
Le mot fruit est à prendre ici au sens botanique et non au sens domestique. Le fruit du muguet est toxique, comme le reste de la plante. Mais ces petites boules orange sont de vrais joyaux qu'on ne voit qu'au cœur de la forêt, là où les promeneurs n'ont pas razzié toutes les fleurs quelques mois auparavant. ---
Ça me fait toujours quelque chose de savoir que certains animaux vivent dehors par des froids polaires, je sais qu'ils s'adaptent et mette leur pelure d'hiver, mais quand même.
RépondreSupprimerC'est là où on voit que nous sommes vraiment fragiles, avec nos couches de vêtements pour supporter le froid.
RépondreSupprimerC'est pas tant le froid que la solitude qui doit lui être pesante.
RépondreSupprimer